mergheni

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1980 dans l'article L'alerte tunisienne, par Khemais Chamari.

LORSQUE, vers 2 heures du matin, dans la nuit du samedi 26 au dimanche 27 janvier, les chefs présumés du commando Amr Ibn Al’Ass (1), Ezedine Cherif, dit « le Borgne », et Ahmed El Mergheni (2), donnent à leurs compagnons l’ordre de passer à l’action, les services de sécurité tunisiens ne s’étaient jusque-là pas doutés un seul instant de leur présence depuis plusieurs jours à quelques centaines de mètres du gouvernorat (préfecture), dans une maison transformée en un véritable arsenal.