matahari

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1989 dans l'article La caméra indonésienne et ses filtres, par Jacques Decornoy.

De nombreux films, réalisés depuis une décennie et plus, le montrent à l’envi : la ville est un monde dur, violent, où sévissent les voyous et les prostituées que met en scène Slamet Rahardjo dans Membulandan Matahari ( « la Lune et le soleil », 1987), où l’argent commande les rapports humains, ce que tend à dénoncer Ami Priyono dans Yang (1984) ; où les valeurs des migrants (javanais ou autres) ne peuvent que se briser dans le sang et les larmes, ce que notait en 1985 Teguh Karya dans Secangkir Kopi Pahit ("Café amer") .