massepains
Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 1957 dans l'article Devoirs de vacances, par La Reynière.
Les macarons de Guebviller, les madeleines de Commercy, les bergamottes de Nancy, les cailloux des Vosges de Saint-Dié, les nougats de Langres, les massepains de Reims, les bêtises de Cambrai, les p’tits quinquins de Lille, les berlingots de Berck, les sucres d’orge de Moret, le sucre de pomme de Rouen, les flions de Caen, les rigolettes de Nantes, les bigoudens de Pont-l’Abbé, le cotignac d’Orléans, les pruneaux fourrés de Tours, l’angélique de Niort, les pralines de Montargis, les nougatines de Nevers, les marguerites d’Angoulême, les fanchonnettes et les niniches de Bordeaux, les violettes de Toulouse, les calissons d’Aix, les macarons de Saint-Emilion, les croquignolles de Navarreinx, le touron de Biarritz, les noix fourrées de Cibourre, les croquants de Nîmes, les gimblettes d’Albi, les alleluis de Castelnaudary, les chocolats de Royat, les anis de Flavigny, les dragées de Mâcon, les marrons glacés de Lyon, les truffettes de Grenoble, le nougat de Montélimar, les fruits confits de Nice… et j’en oublie.