mariengof

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1989 dans l'article Fin des interdits, explosion de l'imaginaire, par Jean-Jacques Marie.

Sans compter les œuvres maudites antérieures : Nous de Zamiatine, les poèmes de Goumilev, la prose d’Anatoli Mariengof, fondateur, avec Essenine, de l’école imaginiste, et en particulier son roman grinçant à l’écriture si moderne les Cyniques (1), etc.