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Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1981 dans l'article Outrages non posthumes au drapeau rouge-jaune-rouge de l'Espagne franquiste, par Marie-Françoise Allain.
La clé des quatre romans est en effet la mémoire, née d’une « peur adulte », peut-être identique à celle de nombreux jeunes auteurs allemands comme Maren Sell qui voudrait, dans Mourir d’absence (Grasset, Paris, 1978), faire sursauter un pays qu’elle juge, à tort ou à raison, trop peu vigilant à l’égard de son passé ; ou encore semblable à l’angoisse des Tchèques Joseph Skvorecky et Milan Kundera, qui ont toujours su que le vieil adage « mieux vaut un chien vivant qu’un lion mort » entendu au plus noir de la terreur stalinienne n’était plus un moyen de survie pour personne, mais d’anéantissement par l’oubli.
Trois autres apparitions
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