manartali

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1983 dans l'article Une société tribale aux richesses convoitées, par Christine Jouvin.

Le projet comprend deux barrages, l’un à Diama en amont de Saint-Louis, avec une retenue d’eau de 500 millions de mètres cubes, qui arrêtera la remontée de la « langue salée », l’autre à Manartali, 1000 kilomètres plus loin ; deux grands ports fluviaux, Saint-Louis et Kayes, dix escales portuaires et, surtout, 500000 hectares de terres irriguées (7).