malass

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1992 dans l'article Les cinéastes arabes scrutent leur société, par Yves Thoraval.

L’amour entre une femme et un homme s’y exprime à travers un ordinateur, placé dans une somptueuse bibliothèque, vide de livres, à l’université des femmes, jusqu’à ce que la rencontre physique devienne une transgression fatale… Finalement, c’est le Syrien Mohammed Malass (dont on avait salué le remarquable les Rêves de la ville, en 1984), qui a remporté le Tanit d’Or de ces Journées de Carthage, pour la Nuit (1).