mais….pour
Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 1974 dans l'article Deux conceptions du jeu diplomatique de la France, par Charles Zorgbibe.
Et le général Gallois, porte-fanion de la doctrine française de la dissuasion, avait développé une argumentation contraire : « L’établissement en commun de plans de représailles nécessiterait que chacun des deux pays accepte de courir le risque suprême pour l’autre » ; « Le financement commun des recherches et fabrications est pratiqué, depuis des années, par les deux pays dans le domaine voisin des techniques de pointe… avec des résultats décevants » ; « Le potentiel de destruction serait doublé mais….pour dissuader il n’est pas nécessaire de pouvoir détruire deux fois le même objectif.