magon

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1990 dans l'article À la découverte de la gauche, par Philippe Videlier.

L’attrait pour les Etats-Unis des intellectuels dissidents du monde entier fait que l’on trouve aussi dans cette encyclopédie quelques étrangers célèbres, passants qui ont laissé une trace plus ou moins éphémère : James Connolly, leader et martyr des Pâques irlandaises de 1916, qui avait édité sans grand succès The Harp outre-Atlantique et considérait son séjour américain comme sa « plus grande erreur » ; Ricardo Flores Magon, organisateur du Parti libéral mexicain, d’inspiration libertaire, qui avait tenté, avec les Wobblies, d’instaurer une Commune de Basse-Californie en 1911 ; José Marti, le héros des Cubains ; Diego Rivera, le peintre muraliste qui avait placé un portrait de Lénine au beau milieu de sa fresque du Rockefeller Center à New-York (ce qui dépassait les limites acceptables du libéralisme américain)… L’Encyclopédie consacre également plusieurs articles à l’anticommunisme et aux campagnes souvent hystériques qui ont, par moments, réduit la gauche à une quasi-clandestinité.

Deux autres apparitions

D'autres articles du Monde Diplomatique qui contiennent ce mot :

  1. Une recolonisation nommée « plan Puebla-Panamá », par Braulio Moro
  2. Bernard Madoff, à la barbe des régulateurs de la finance, par Ibrahim Warde