madauros

Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1972 dans l'article Tourisme : Des sites naturels et historiques remarquables dont la mise en valeur est déjà activement commencée, par Jean-Pierre Peroncel-Hugoz.

Mais l’Algérie n’a pas que Timgad et Djemila ; des ruines d’Hippone (devenue Bône, puis Annaba) — où flotte le souvenir de saint Augustin, le plus célèbre des Pères de l’Eglise latine — à celles de Cherchell — qui, sous le nom de loi Caesaree, fut, au début de l’ère chrétienne, le principal foyer d’Afrique du Nord où se mêlèrent et d’où rayonnèrent les civilisations grecque, romaine et berbère — tout un chapelet de cités et de monuments s’offre au voyageur féru de l’Antiquité (basilique chrétienne de Tigzirt, en Kabylie, stèles du jardin d’Orléans, à Sétif, prétoire de Lambèse, où vinrent Hadrien et Antinoüs, sites urbains de Tipasa, Rapidi, Tiddis, Guelma, Khemissa, Madauros, etc.