mûrira

Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 1957 dans l'article Le Douro, patrie du porto.

Cependant il faut un bon nombre d’années pour en faire le nectar qu’est le porto : transporté soit sur des barques, les « rabelos », soit en chemin de fer, le contenu des barriques est déversé dans les grands « foudres » des négociants de Gaïa, en face de Porto, pour être ensuite transvasé dans des « pipes » de 550 litres, où le vin reposera et mûrira pendant quelque huit ans.