mâ-el

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1970 dans l'article Une terre d'échange et de passage, par Odette de Puigaudeau.

Encore en 1912, ce fut au ribat de l’embouchure de l’oued Massât que Al-Hîba, fils du cheik Mâ-El-Aïnîn (mort à Tiznit en 1910) et héritier de la baraka paternelle, vint recevoir la consécration de son autorité religieuse avant de livrer les derniers combats désespérés contre les troupes françaises.