lovelock

Première apparition dans le Monde Diplomatique en juillet 1989 dans l'article Le choix écologique contre la volonté de puissance, par Jacques Robin.

Les graves perturbations biosphériques actuelles (modifications géoclimatiques par l’« effet de serre », trous d’ozone, érosion des sols, simulation de l’hiver nucléaire…) ont conduit James Lovelock (4) à formuler l’hypothèse « Gaïa », que l’on peut ainsi formuler : la biosphère, prise dans son ensemble, constitue un immense système autorégulé d’une formidable complexité ; dans ce système, la vie sur la Terre contribue à créer et entretenir ses propres conditions de vie.

Trois autres apparitions

D'autres articles du Monde Diplomatique qui contiennent ce mot :

  1. Que l'économie serve la biosphère, par René Passet
  2. Pour une nouvelle conscience planétaire, par Edgar Morin
  3. Du constat scientifique à la critique économique, par Hervé Kempf