lorenzer
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 2002 dans l'article La langue de l'étranger, par Jacques Derrida.
Ils sont si nombreux, les traducteurs (à commencer par Stefan Lorenzer ici même aujourd’hui), les étudiants, les éditeurs qui m’ont déjà offert la grâce de leur hospitalité, depuis 1968, dans les universités de Berlin, de Freiburg-im-Breisgau, de Heidelberg, de Kassel, de Bochum, de Siegen et surtout de Francfort, par trois fois, et l’an dernier encore, lors de conférences sur l’Université, d’un séminaire commun avec Jürgen Habermas ou déjà, en 1984, d’un grand symposium sur Joyce.