longitudinales

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 2011 dans l'article Florissant marché des « désordres psychologiques », par Olivier Appaix.

» Toutes les études longitudinales (qui ne sont pas menées par les laboratoires) montrent que les effets des neuroleptiques s’estompent avec le temps, que les crises réapparaissent, souvent plus fortes, et que les symptômes s’aggravent, plus encore que chez les patients traités avec des placebos.