loizillon
Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 2001 dans l'article Mais où sont les « salauds » d'antan ?, par Vincent Chenille & Marc Gauchée.
En fait, ces petits entrepreneurs accompagnent les changements politiques favorables à la gauche gouvernementale : d’abord au début du second septennat de François Mitterrand avec Mes meilleurs copains (de Jean-Marie Poiré en 1989) et Sushi Sushi (de Laurent Perrin en 1991), puis à l’époque de la victoire de la « gauche plurielle » avec Le Silence de Rak (de Christophe Loizillon en 1996) et La Vérité si je mens (de Thomas Gilou en 1997).