liberale

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1980 dans l'article José Carlos Mariategui une pensée libre, par Hugo Neirà.

Lecteur attentif de Piero Gobetti et de sa Rivoluzione liberale, le Péruvien assimilera la conception d’un marxisme ouvert, on pourrait dire poreux, souple, qui s’insère dans le réel en tenant compte de la dynamique propre des « classes subalternes » ainsi que du problème de la « culture nationale » que développera plus tard Gramsci, mais bien après la mort de Mariategui.