leibholz

Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 1982 dans l'article Espoirs et désillusions de l'après-franquisme, par Joan E. Garcés.

Leibholz voyait en 1928 dans la pratique de la « concertation sociale » le point de convergence historique entre ces deux secteurs politiques, par la négation de la dichotomie capital-travail et par la recherche de solutions corporatistes aux conflits sociaux au travers de l’Etat : « Ce souci d’un parti de s’identifier à la totalité (…) n’est pas un trait particulier au fascisme, car la tendance à devenir un parti populaire est inhérente à tout parti.