larvaires

Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 1977 dans l'article La dictature dans le roman latino-américain.

Le dictateur-cliché – tout de noir vêtu, – caricatural et grotesque, en qui se résument la cruauté sanguinaire, la vésanie criminelle, la violence arbitraire et la peur corrosive, s’entoure d’une cour de favoris larvaires qui, dans, le monde théâtral instauré par le roman, incarnent les rôles des puissances perverses auxiliaires : corruption, délation, torture, répression, etc.