lacrymal

Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 2002 dans l'article Pérennité du roman populaire, par Evelyne Pieiller.

Si l’aimable Sue, « dandy mais socialiste », pour reprendre les termes de Jean-Louis Bory, ne lésine pas sur le pittoresque et le lacrymal, il n’en reste pas moins certain que l’immense succès de son livre tient moins à la frêle figure de Fleur de Marie, fille publique et néanmoins fille de grand duc, moins à l’effroi suscité par l’horrible Chouette, qu’à la mise en scène des mensonges et des crimes des « puissants », à la conviction vigoureuse que tous les « indignes », nobles ou… ignobles, ont droit à la rédemption par la reconquête du sentiment de leur humaine dignité, à la vitalité, enfin, du parler populaire, exotique chez les malfrats, exubérant chez les pauvres-mais-honnêtes.

Un e autre apparition

Un autre article du Monde Diplomatique qui contient ce mot :

  1. Gaz lacrymogène, des larmes en or, par Anna Feigenbaum