laâbi
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 1978 dans l'article La poésie palestinienne entre la blessure et le rêve de la terre, par Tahar Ben Jelloun.
Le poète marocain Abdellatif Laâbi rappelle dans son anthologie (2) le texte d’un jeune Palestinien anonyme qui fut pendu un matin de 1936 : « O nuit Laisse le prisonnier terminer ses lamentations Ne crois pas que c’est la peur qui me fait venir les larmes je pleure sur ma patrie et sur les enfants que j’ai laissés à la maison Qui les nourrira après moi alors que mes deux frères avant moi ont été pendus… » Dans Chronique de la douleur palestinienne, Mahmoud Darwich, répondant à la poétesse Fadwa Touqan, auteur de Je ne pleurerai pas, lui dit : « Nous n’étions pas, avant juin, des nouveau-nés c’est pourquoi notre passion ne s’est pas émiettée entre les chaînes voici vingt ans, ô ma sœur que nous n’écrivons pas des poèmes mais que nous combattons.
Quatre autres apparitions
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