korucu
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 1997 dans l'article Turcs et Kurdes réconciliés par le cinéma, par Nicolas Monceau.
En ouverture du film, le meurtre d’un korucu (gardien de village, rémunéré par l’Etat turc) au cours de l’attaque d’un bus par les rebelles souligne le déchirement de la population locale entre les exigences de leur « cause » et les contraintes matérielles.