kobrine

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1992 dans l'article Explosion créative, par Christian Zimmer.

De ces deux cinéastes, on peut rapprocher la très forte personnalité de Vladimir Kobrine, qui est de la famille des grands visionnaires, des artistes « hantés » : le Dernier Rêve d’Anatoli Vassilievitch (1990) montre un homme s’enfonçant lui-même dans le four crématoire et aligne des photos de morts par pendaison ou strangulation tirées des archives de la police.