kisaeng
Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1992 dans l'article Conventions et audaces du cinéma sud-coréen, par Christian Zimmer.
Cette année 1986 marquait en même temps un tournant dans l’inspiration du cinéaste, qui, délaissant la Corée d’aujourd’hui, faisait retour vers le passé, en évoquant la figure de Hwang Chinee (c’est le titre du film), célèbre poétesse du seizième siècle, devenue kisaeng (l’équivalent de la geisha japonaise) et morte dans la misère sur les routes d’un pays en proie à la famine.