kirchensteker
Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1975 dans l'article Les concordats, ou les ambiguïtés d'une double mission, par Jacques Duquesne.
Il est vrai que le concordat espagnol garantit, en principe, les traitements du clergé « contre toute dévaluation » et que le concordat allemand de 1933 a confirmé le traditionnel kirchensteker (impôt ecclésiastique) par lequel le percepteur recouvre une cote spéciale qu’il réserve à l’Eglise à laquelle le contribuable a déclaré appartenir : ce qui assure aux diocèses allemands une très confortable aisance.