keltoum

Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 1973 dans l'article Algérie : Dépasser l'épopée nationaliste, par Jean-Pierre Peroncel-Hugoz.

C’est principalement le cas du Vent des Aurès de Mohamed Lakhdar-Hamina (1965), qui, avec un minimum de complaisance et un grand souci plastique, retrace le calvaire d’une paysanne des Aurès à la recherche de son fils incarcéré ; la qualité de l’interprétation du rôle de la mère par la comédienne algérienne Keltoum a puissamment aidé au succès international d’un film qui obtint le prix de la première œuvre au Festival de Cannes en 1965.