kawliyya

Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1977 dans l'article Un centre de rayonnement vers les autres métropoles musulmanes, par Simon Jargy.

On y retrouve le chant bédouin de la péninsule arabique, celui des populations sédentaires des régions de l’Euphrate et du Tigre, hautes en couleur, et même de ces autres nomades répandus en divers pays d’Orient et d’Europe, les Tziganes, appelés ici Kawliyya, et qui sont particulièrement appréciés pour leur talent de musiciens et de danseurs.