katamanko
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1966 dans l'article Le coup d'Etat militaire d'Accra ne doit pas faire oublier les réalisations dues au socialisme ghanéen, par Robert Cornevin.
Il n’est pas possible de parler du Ghana Eans immédiatement prononcer le nom de celui qui durant près de neuf ans fut à la tête du pays, se faisant appeler tour à tour Katamanko (l’infaillible), Koukoudourini (l’indomptable), Asondwehene (le pacificateur), Kakasapiedo (l’homme de parole), Nougeno (l’invincible), Oyeadiaye (le rénovateur de toutes choses, encore traduit par l’homme d’action), Messiah (le messie), et surtout Osagyefo (le rédempteur).