kaftans

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1992 dans l'article L'histoire, le fascisme et les paraboles, par Philippe Videlier.

Au chapitre 2 : « Années d’études et de souffrance à Vienne », sous-partie : « Je deviens antisémite », il explique que ce qui lui était pénible en tant qu’Allemand, chez les juifs, c’était la saleté et les odeurs : « Qu’ils n’eussent pour l’eau que très peu de goût, c’est ce dont on pouvait se rendre compte en les regardant et même, malheureusement, très souvent en fermant les yeux, il m’arriva plus tard d’avoir des haut-le-cœur en sentant l’odeur de ces porteurs de kaftans (6).