kachyña
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 1988 dans l'article Les déchirements d'une culture, par Marie-Françoise Allain.
On tolère ainsi, dans les films, des sujets auparavant jugés décadents ou dangereux : violence, drogue, problèmes de société, mais aussi, de plus en plus souvent, évocation de l’histoire — celle de la Tchécoslovaquie avant ou pendant la seconde guerre mondiale, avec la Mort des beaux cerfs, mise en scène par Karel Kachyña, d’après le roman d’Ota Pavel ; ou encore, par le même metteur en scène, ce téléfilm, le Dernier Train pour Waldorf sur l’occupation allemande « retenu » depuis quelques années, mais qui devait sortir fin 1987.