kabaliste
Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 1998 dans l'article Qui est qui ?, par Joseph Algazy.
Le Shas recrute essentiellement parmi les couches orientales pauvres, dont il exploite le mécontentement social et le ressentiment « ethnique » à l’égard des ashkénazes — mais il n’hésite pas à recourir à la superstition, diffusant des amulettes et prétendant que son chef spirituel, le kabaliste Eliyahou Kadouri, serait doté de qualités surnaturelles.