kádár
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 2006 dans l'article Le rire de Nasser, les larmes de Budapest, par Roger Martelli.
A Budapest, deux hommes symbolisent cette contradiction : Nagy, d’abord réticent devant un mouvement qui l’inquiète, finit par l’incarner, jusqu’à rompre avec Moscou, et, en définitive, accepte le martyre ; János Kádár, emprisonné de 1951 à 1954, rallié au départ à Nagy, le lâche au tout début novembre et cautionne la seconde intervention des Soviétiques.
Un e autre apparition
Un autre article du Monde Diplomatique qui contient ce mot :