judicio

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1978 dans l'article Un rôle limité mais indispensable pour prévenir les plus graves abus, par Robert Pelloux.

Au terme de cette évolution, il apparaît que, si l’individu n’est pas partie devant la Cour, au sens juridique du moi, il peut se faire entendre et que, à défaut du jus standi in judicio, il jouit, en quelque sorte, d’un accès indirect à la haute juridiction très soucieuse de défendre les droits de l’individu, celle-ci a également donné une interprétation libérale de l’article 50 de la convention qui lui confère compétence pour accorder à la victime reconnue une « satisfaction équitable » lorsque le droit de l’Etat défendeur ne permet pas de réparer entièrement le préjudice subi.