jolson

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 2000 dans l'article La procédure silence, par Paul Virilio.

Devenu sonore à la fin des années 20 — plus exactement, en 1927, avec le film américain Le Chanteur de jazz, interprété par Al Jolson —, le cinématographe a non seulement mis des œillères aux spectateurs (des « volets de fer », dira Kafka), il a aussi, selon le cinéaste Abel Gance, « étouffé le regard ».