jbfa

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 2007 dans l'article Des non-dits nippons qui sont aussi les nôtres, par Emilie Guyonnet.

Ainsi, lorsqu’en 1995 le gouvernement du premier ministre socialiste Tomiichi Murayama présenta à la Diète (le parlement) une résolution d’excuse pour l’agression du Japon en Asie, « le “Comité national”, fondé par le JBFA, menaça de retirer son soutien électoral aux politiciens conservateurs qui soutenaient la résolution ou simplement refusaient de s’y opposer », relate Steven Benfell dans la revue Harvard Asia Quarterly (2).