jahid

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 2000 dans l'article Deuil subversif en Tunisie, par Kamel Labidi.

Comme les onze ans passés jadis dans des prisons françaises, les treize années de résidence surveillée imposées au Combattant suprême (el Mou jahid el akbar) depuis sa destitution, le 7 novembre 1987, par son premier ministre, le général Zine El Abidine Ben Ali, pour cause de « sénilité », n’ont fait que rehausser son prestige parmi les Tunisiens de tous bords.