iwamaru

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1992 dans l'article Indélogeable pègre japonaise, au cœur de l'économie spéculative, par Philippe Pons.

Un exemple : en novembre, le chef d’Iwamaru-gumi, une bande de truands de Kyoto affiliée à la plus que centenaire organisation criminelle de l’ancienne capitale impériale, Aizu-kotetsu, était l’objet d’un redressement fiscal d’un montant de 1,4 milliard de yens sur des revenus parfaitement légaux (transactions immobilières) dissimulés à l’administration.