ivory
Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 1997 dans l'article Regards acides sur la société britannique, par Gareth McFeely.
DANS les années 80, le cinéma britannique — à la suite de Chariots of Fire ( Les Chariots de feu, de Hugh Hudson, 1981) et dans un genre bien illustré par Ismaïl Merchant comme James Ivory — semblait ne plus s’intéresser qu’au passé, s’abandonnant à la passion des films historiques et accordant une grande attention aux costumes comme aux décors, à cent lieues de tout réalisme social.