italo-autrichien

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1993 dans l'article Trieste ou le rêve en panne, par Constance Colonna-Cesari.

Reste le terminal de l’oléoduc italo-autrichien, qui assure encore au port et aux compagnies de transport un transit de 25 millions de pétrole brut.