insolemment
Première apparition dans le Monde Diplomatique en juillet 1956 dans l'article Deux ambassades nord-africaines en France, par Aimé Dupuy.
J’en ai fait un gros journal, mais j’avoue que je n’y ai pas décrit la centième partie des beautés de ce royaume ni la grandeur de Votre Majesté… » Évidemment l’envoyé marocain devait à son retour trouver un maître violemment irrité, répondant immédiatement et insolemment au Roi-Soleil : « … Nous n’avons besoin de rien de chez vous… La paix ou la guerre avec vous ne nous importe aucunement… » Toutefois, se ravisant au récit que Ben Aïcha lui avait fait des merveilles dont il avait été témoin – notamment la vue d’une admirable princesse, « à présent sans époux », et qui n’était autre que la princesse de Conti (ex-Mlle de Blois, fille de Mlle de La Vallière et veuve du prince de Conti), le madré Moulay Ismaël faisait par son envoyé demander tout simplement la main de cette « fille de l’empereur de France ».
Neuf autres apparitions
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