inexportables
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 2003 dans l'article Le cinéma québécois caméra au poing, par Roger Bourdeau.
La partie submergée, elle, se compose de produits de masse à consommer sur place ou d’œuvres riches mais confidentielles, de comédies populaires ou de films d’auteur à petits budgets, jugés en général « inexportables » — souvent à tort, mais parfois à raison.