inentendue
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1976 dans l'article « Le langage riche et vivant des masses », par Alain Bergala.
C’est que la parole qui se déploie dans un film comme Moi j’dis qu’c’est bien, loin d’être soufflée ou volée, est une parole inattendue, plus exactement inentendue, vivante et riche, celle d’une partie de la population, ici de jeunes ouvriers, qui n’a jamais eu pouvoir, à l’écran, de tenir son propre discours, frontalement.