indéoendants

Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1973 dans l'article Grèce : Les réalisateurs indépendants pourront-ils continuer à travailler ?, par Georges Stavros.

Le silence vint remplacer l’euphorie, et les jeunes indéoendants durent se retrancher dans la clandestinité ou en exil pour terminer leurs films : les Pâtres du désordre, de Nicos Papatakis, ou Kierion, de Demosthène Théos.