impulseraient

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 2012 dans l'article Le chat de Felipe González, par Luis Sepúlveda.

Quand les économies les plus puissantes du monde décidèrent que les nations moins développées devaient se transformer en marché géant, à condition qu’elles s’ouvrent à la concurrence du premier monde, aucun prophète du style de Carlos Solchaga ne cessa de croire et de marteler que les conditions imposées aux pays du tiers-monde, pour injustes et ingrates qu’elles fussent, impulseraient une dynamique irrésistible : les pauvres vendraient davantage de marchandises aux riches et deviendraient plus compétitifs face à leurs industries.