implorantes
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 2004 dans l'article Une obsession nommée Bombay, par Mila Khalon.
Pour qui appartient aux classes moyennes, le fait de partir de chez soi chaque matin est un combat — il faut se battre contre les autres véhicules, négocier les nids de poule, essayer d’ignorer les petites mains implorantes qui s’accrochent aux vitres de la voiture.