imollen

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1991 dans l'article Le verbe de Hawad, par Malek Chebel.

La veillée commence : l’aveugle Imollen, en bon prédicateur du temps qui passe, lance son récit comme on tend un fil (de la parole) ; Awjembak, forgeron de son état, saisit le bout du fil-récit, ânone des litanies et dénoue le sens comme on renvoie une note de musique.