illuminante

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1979 dans l'article Exilés ou déportés d'une culture, par Jacques Borel.

Mozart, à la merci des grands, écrit sur commande, écrit pour vivre ou, dans la pauvreté jusqu’au bout, avant la fosse commune, pour survivre ; il n’en écrit pas moins de la musique maçonnique ; et, pour le reste, sous l’apparent divertissement, c’est un non absolu que prononce Don Juan, auquel fait écho le oui passionné, insurgé, appelant l’avènement d’une autre lumière, et que module, d’un bout à l’autre, dans sa gravité illuminante, la Flûte enchantée.