hyper-concentrationnaire

Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1983 dans l'article La souplesse économique et ses limites, par Roland-Pierre Paringaux.

Ce phénomène hyper-concentrationnaire, qui demeure une constante du « paysage urbain moderne », coûte certainement très cher à l’art de vivre traditionnel, en osmose avec la nature, mais il maximalise les capacités et réduit les coûts de production et de distribution.