houria
Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1982 dans l'article Le cinéma, miroir de la société, par Mouloud Mimoun.
En 1965-1966, les « films-drapeaux » des jeunes cinéastes issus de l’Institut d’Alger s’intitulaient Elles (Lallem), Un après-midi (Sebiaa), Comme une âme (Bouguermouh), tandis que ceux de la télévision s’appelaient Houria (Maache) ou les Marchands de rêves (Ifticène).
Quatre autres apparitions
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