herculais
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1955 dans l'article Les rapports franco-tunisiens, par Aimé Dupuy.
Cette politique de « bonne intelligence » sera seulement troublée, au cours de la période révolutionnaire, par les maladresses de l’envoyé extraordinaire du comité de salut public, le citoyen Herculais, lequel, méconnaissant les « maximes », eût ruiné la prépondérance française s’il n’avait été, en 1797, rappelé par le Directoire.